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sirine abla

9 juin 2009

examen

2005
Actualisé le 12 septembre 2007

Le Conseil national de la protection de la nature est régi par les articles R251-1 et suivants du code de l’environnement.

Les membres du Conseil ont été renouvelés par arrêté du 15 février 2005.

Le Conseil national de la protection de la nature a pour mission de donner au ministre chargé de l’écologie son avis sur les moyens propres à préserver et restaurer la diversité de la flore, de la faune sauvage et des habitats naturels.

Le Conseil est consulté sur les moyens destinés à assurer la protection des espaces naturels et le maintien des équilibres biologiques auxquels ils participent, notamment en matière de :

  • parcs nationaux,
  • parcs naturels régionaux,
  • réserves naturelles,
  • sites d’importance communautaire,
  • faune et flore sauvages.

Enfin, le Conseil examine les mesures législatives et réglementaires ainsi que les travaux scientifiques afférents.

Une modification du règlement intérieur est intervenue début 2005 à l’occasion du renouvellement du CNPN, une nouvelle commission des aires protégées a été créée, soulageant le comité permanent de ses anciennes missions relatives au suivi des espaces protégés.

Présidé par le ministre, le Conseil national de protection de la nature est composé de 40 membres dont 20 membres de droit qui représentent ministères, établissements publics ou associations nationales et 20 autres membres, choisis parmi des personnalités scientifiques et des représentants d’associations régionales, nommés par le ministre pour une durée de 4 ans renouvelable.

EXERCICES :

1 : De quoi parle le texte ?

2 : Quel est le titre que vous proposez à ce texte ?

3 : Quel est le rôle de le conseil national de la protection de la nature ?

Fonctionnement de la langue :

1 : Quel est le temp. dominant ?

2 :Relevez  les articulateurs logique dans le texte ?

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7 juin 2009

LING

Ferdinand de Saussure, Cours de Linguistique générale, Payot 1916

6 avril 2002

Saussure a, comme beaucoup de penseurs, ressenti des scrupules devant l'écriture : comment figer dans l'écrit une pensée qui ne cesse d'évoluer ? Le "Cours de linguistique générale" (CLG), son oeuvre la plus connue, a en fait été rédigé par des étudiants qui avaient collationné des notes de cours. Il faut donc le lire avec prudence.

Le CLG présente des traits que l'on rencontre souvent dans les textes fondamentaux : la forme est simple, la langue claire, la pensée dense. Cela contraste de façon parfois comique avec les commentaires tarabiscotés fournis en note, parfois émaillés de contresens évidents. Les épigones n'ont pas l'énergique simplicité du pionnier.

Si la théorie de Saussure est fondée sur des éléments simples, son exposé comporte des incidentes qui prolongent la perspective vers les profondeurs de la complexité. Il en est de la logique comme de la musique : le débutant croit jouer du piano quand il ânonne les premières mesures d'un morceau ; le professionnel qui aspire au statut de virtuose joue mécaniquement sans savoir ce qu'il fait ; seul le musicien qui a mûri son art peut conjuguer rigueur et plaisir. Saussure est dans sa spécialité l'équivalent d'un Sviatoslav Richter.

Il en résulte que le CLG, texte court dans une langue claire, a la même complexité qu'un objet naturel et se prête à divers niveaux de lecture. Il invite à la méditation. Les structuralistes ont concentré leur attention sur sa première partie, celle où Saussure développe l'analyse "synchronique" de la langue - c'est-à-dire l'analyse du système que constitue une langue, en faisant abstraction de son histoire et des mécanismes de son évolution. Les structuralistes aimant bien la quantification, j'ai mesuré avec un peu de malice le nombre moyens d'appels de note par page dans les chapitres du CLG : les premiers chapitres, consacrés à l'analyse synchronique, ont été beaucoup plus étudiés que les chapitres portant sur l'analyse "diachronique", l'évolution des langues.

7 juin 2009

PHONÉTIQUE FRANÇAISE - F.L.E Université de León

PHONÉTIQUE FRANÇAISE - F.L.E
Université de León

Critères articulatoires des consonnes
       mode d' articulation
      point d' articulation
 

Classification articulatoire des consonnes

Difficultés et interférences des consonnes

 

                 Critères articulatoires des consonnes


Mode d' articulation

  Le mode d'articulation est défini par un certain nombre de facteurs qui modifient la nature du courant d'air expiré :

- intervention des cordes vocales ou mise en vibration: articulation sonore

- fermeture momentanée du passage de l'air suivie d'une ouverture brusque (explosion): articulation occlusive

- rétrecissement du passage de l'air qui produit un bruit de friction ou de frôlement : articulation fricative

- position abaissée du voile du palais: articulation nasale

- contact de la langue au milieu du canal buccal; l'air sort des deux côtés: articulation latérale

- une série d' occlusions brèves et séparées de la luette: articulation vibrante
 


Point d' articulation

  Le point d'articulation est l'endroit où se trouve, dans la cavité buccale, un obstacle au passage de l'air. De manière générale, on peut dire que le point d'articulation est l'endroit où vient se placer la langue pour obstruer le passage du canal d'air.

  Le point d'articulation peut se situer aux endroits suivants :

       les lèvres (articulations labiales ou bilabiales)

       les dents (articulations dentales)

       les lèvres et les dents (articulations labio-dentales)

       les alvéoles (articulations alvéolaires)

       le palais (articulations palatales)

       le voile du palais (articulations vélaires)

       la luette (articulations  uvulaires)

 
 

Organe 
anatomique
Nomenclature 
phonétique 
correspondante
Gorge déployée 1 lèvres labiales
2 dents dentales
3 alvéoles alvéolaires
4 palais dur pré-palatales
5 médio-palatales
6 post-palatales
7 voile du palais pré-vélaires
8 post-vélaires
9 luette (uvula) uvulaires
10 pharynx pharyngales
11 larynx laryngales
12 glotte glottales
13 apex de la langue apicales 
(pré-dorsales)
dorsales
14 dos médio-dorsales
15 racine radicales (post-dorsales)

In Phonétique  http://babel.alis.com:8080/glossaire/phonetique.fr.htm


CLASSIFICATION ARTICULATOIRE DES CONSONNES


                                 BILABIALE     LABIODENTALE   DENTALE       PALATALE         VELAIRE
 

OCCLUSIVES   Sourde        [p]                                      [t]                                       [k]
                    Sonore         [b]                                     [d]                                       [g]
 

FRICATIVES    Sourde                          [f]                   [s]                 []
                     Sonore                          [v]                  [z]                 []
NASALES                        [m]                                    [n]                []
LATERALES                                                            [l]
VIBRANTES                                                                                                                     [R]

 

[p] père, coupe
[t]  ton, autre
[k] kilo, disque
[b] bon, arabe
[d] don, idole
[g] guerre, fugue
[f]  fin, golfe
[s]  son, penser
[m] mer, mode
[n] non, nager
[] vigne, signal
[l]] lion, salon

[v]   vie, avoir
[z]   maison, zone
[]   chat, bouche
[]    joli, plage
[R]   riz, heure


Tableau articulatoire des consonnes françaises
http://courseweb.edteched.uottawa.ca/Phonetique/Aix2000/tableaux.html#cons-acou


Représentation des 17 phonèmes consonantiques
 

Phonétique et enseignement du français langue étrangère

http://cfcc.ie-eg.com/formatio/phonetique%20cours.htm


DIFFICULTÉS ET INTERFÉRENCES ARTICULATOIRES DES CONSONNES

Les consonnes du français qui présentent des difficultés ou des interférences lorsqu' un étudiant étranger doit les entendre ou les prononcer sont les suivantes:
 

                        [v]     [z]     []    []     [R]
 

Ainsi nos stratégies pédagogiques pour la correction phonétique des consonnes se centreront sur les oppositions suivantes:
 

[b] - [v]

[s] - [z]

[] -  []

[g] - [R]


Index FLENET

Index  Phonétique FLE

 

    Appareil phonatoire
  Méthodes de correction
  Dictées - Exercices AUDIO

Copyright © créé en 1999 - Mario Tomé
Français langue étrangère et Internet (FLENET)
Universidad  de León  (España)

7 juin 2009

phon

1. Oralité   /   nasalité

Les voyelles orales se prononcent avec le voile du palais relevé, ce qui ferme le passage nasal.

Les voyelles nasales se prononcent avec le voile du palais abaissé, ce qui laisse passer de l'air par la bouche et par le nez.


2. L'arrondissement

 

Pour les voyelles arrondies les lèvres sont arrondies et projetées en avant: [y]  [u] [ø]  [] []  [o]  [] []

 
 

Pour les voyelles non arrondies les lèvres son écartées ou dans une position neutre:  [i] [e][]  [a]

 
 
 

3. Fermée / Ouverte
 

Les voyelles fermées: la langue s'élève et il y a un rétrécissement de la cavité buccale

                     [i]               [y]                         [u]

                           [e]           [ø]                [o]
 

Les voyelles ouvertes: La langue est en repos ou peu élèvée et il y a une aperture dans la cavité buccale

                               []       []             []

                                         [a]         []
 
 
 

4. Antérieure / Postérieure
 

Les voyelles antérieures

7 juin 2009

L'invention de la liberté au XVIII° siècle

L'invention de la liberté au XVIII° siècle

.........Le libertinage date du 18° siècle, siècle de corruption morale, hésite entre célébration de la jouissance sans frein et appel à une nouvelle moralité. En ce temps de monarchies absolues et de despotismes en tout genre, l'œuvre d'art libertine devient l'acte par excellence de la conscience libre. Les peintres, poètes, musiciens deviennent les prophètes d'une valeur de liberté partout ailleurs compromise.Les principaux peintres libertins sont Watteau, Boucher et Fragonard.. Mais le libertinage s'exprime aussi dans la littérature avec Diderot, d'ailleurs peint par Fragonard (les Bijoux indiscrets), avec Choderlos de Laclos (Les liaisons dangereuses) et une pléiade d'auteurs légers comme Boyer d'Argens (Thérèse philosophe) ...
........Le libertinage s'inscrit dans le baroque ou plus exactement dans le rococo dont les Forges de Vulcain de Boucher sont l'exemple. Les décors sont luxueux. Les scènes se passent en effet dans des intérieurs chics ou dans des paysages champêtres aux couleurs chaudes comme dans les Baigneuses de Fragonard. La peinture libertine exprime le goût du luxe dans une société raffinée où ont lieu des fêtes galantes comme on le voit par exemple dans le fameux Embarquement pour Cythère de Fragonard : les personnages appartiennent tous à la noblesse ou à la haute bourgeoisie. Les fêtes rassemblent en désordre les hommes, multipliant les objets de jouissance dans un décor gai. C'est l'occasion pour les personnages de se déguiser et de mettre en valeur les tactiques de séduction. La fête, avec ses artifices et sa dépense, apparaît comme un moment de vérité où les êtres peuvent s'adonner sans détour et presque sans obstacles à leurs passions.
......La femme règne dans cet univers ; autour d'elle flotte la promesse du plaisir. Dans la réalité sociale, soit les femmes règnent dans les salons par leur esprit, soit elles sont enfermées dans des couvents, soit elles sont mariées contre leur gré. Dans la peinture, elles baignent dans le luxe et la richesse, et on peut voir leurs amourettes et aventures. Les protestations tendres sont le langage chiffré de l'impatience charnelle. Les images sont chargées de représenter vivement les aspects du plaisir que la décence interdit d'exprimer par la parole. Les images divinisent le désir et le laissent complètement s'exprimer. L'amour ou, plus exactement, l'érotisme et la trangression de l'interdit sont au centre des peintures libertines Le libertinage oppose des scènes érotiques à des scènes bibliques comme dans Le verrou où l'on aperçoit, à côté d'un couple en émoi, une pomme, qui rappelle le péché originel, thème traditionnel de la peinture chrétienne.
.....Le libertinage s'inspire aussi de la mythologie comme dans les Diane au bain de Boucher et de Watteau ou dans L'enlèvement d'Europe de Boucher : Boucher et les autres célèbrent la gloire et l'amour à travers une mythologie travestie : tout est transporté dans le registre d'une fable qui ne retient de ses sources mythiques que des éléments mis scène. Le plaisir semble indéfiniment renouvelable et, puisque nous sommes ailleurs que dans la vie, rien ne parlera de lassitude et de mort dans ce royaume. Le désir s'évade dans un autre univers moral dans un climat où ses vœux peuvent être exaucés sans trop de résistance.
....Mais les peintres libertins doivent savoir faire surgir des figures capables d'arrêter l'attention d'un public blasé en quête de piquant. L'ennui suit de très près le plaisir, les mêmes sensations, trop souvent renouvelées, ne causent plus de surprise et l'on pourrait considérer le Gilles de Watteau comme une allégorie de cette lassitude de la fête des sens trops souvent sollicités.
Alors, les peintres libertins vont exploiter une nouvelle ressource : l'exotisme du mal, le continent noir de la terreur et des plaisirs interdits. Rousseau a dit : "convertir la douleur en volupté". A la fin du siècle, aux alentours de la Révolution, le plaisir se trouve par le déploiement d'une volonté rebelle qui brave le destin et l'autorité divine : la femme, par exemple, n'est plus la reine des boudoirs du rococo, mais elle est l'instrument, actif ou passif, d'un plaisir noir. Le libertinage est porté au tragique et prend l'aspect du sacrifice sanglant. Burke s'intéresse au spectacle funèbre pour le seul frisson qu'il en résulte. On passe des nymphes de Boucher aux dormeuses torturées de Füssli (Le cauchemar)

Reste que, qu'ils soient écrivains, sculpteurs ou peintres, les auteurs libertins du 18° siècle ont tous voulu établir une rupture avec les siècles puritains précédents, qui proscrivaient débauche, dissolution et plaisirs charnels. En peignant des scènes érotiques, Watteau, Fragonard et Boucher ont opéré une véritable révolution : c'est dans ce sens que l'on peut qualifier le 18° siècle de siècle de libération des mœurs.

.............sommaire

 



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7 juin 2009

C.L

le Moyen Age:  Succédant à l'Antiquité, le Moyen Age est une longue période de mille ans. On considère généralement qu'il a débuté en 476, avec la chute de l'Empire romain d'Occident, et a pris fin en 1492, date de la découverte de l'Amérique par Christophe Colomb.

Nous vous proposons de découvrir la vie quotidienne de quelques-uns des acteurs de cette longue période historique.

7 juin 2009

j'aime beaucoup la nature

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7 juin 2009

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7 juin 2009

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